• Nem Talált Eredményt

The aim of the present work is to discover a particular social phenom-enon: the conversion of a large number of intellectuals to Catholicism.

Many representatives of the French cultural life decide to convert themselves to Catholicism at the turn of the 19th and 20th centuries.

The literary works of the converted artists belong to the Catholic literary revival which allows the birth of a new literary genre, the

"conversion narrative". The converted artists issued from several social and spiritual circles play an important role in the French literature.

They try to express their inner transformations as well as find their spiritual identity in the Catholic faith.

À la fin du XIXe et au début du XXe siècles, nous assistons en France à un phénomène sociale inattendu par les représentants des structures politiques et culturelles officielles, c’est-à-dire une grande quantité de conversions d’intellectuels au catholicisme. L’un de ces convertis, le diplomate et poète français Paul Claudel, dans ses Correspondances se demande si les conversions ne peuvent pas être liées aussi à un phénomène de génération de 1868, l’année de sa propre naissance, mais aussi celle de Francis Jammes et de quelques autres poètes.1 Frédéric Gugelot, maître de conférences à l’Université de Reims, le commente ainsi : « Une génération est donc décelable dans ces identités de naissance à l’origine d’une identité de perception, renforcée par une commune sensibilité poétique qui joue, selon lui, un rôle aussi décisif ».2 Richard Griffiths, professeur à Oxford, analyse la création des auteurs qui sont devenus catholiques au moment des grandes tensions entre l’Église et les représentants de la 3e République, tout en délimitant un mouvement littéraire reprenant des sujets religieux3. Il s’agit selon lui d’une révolution littéraire et sociale succédant logiquement aux positivisme et matérialisme des courants littéraires de la deuxième moitié du XIXe siècle :

« Deux siècles d’incroyance – ou mieux de déisme – dans les milieux intellectuels, aboutissant aux excès du positivisme sous le

1 Cf. Lettre de Paul Claudel à Francis Jammes du 28 juin 1898, in Claudel –Frizeau – Jammes 1952 : 26.

2 Gugelot 2010 : 31.

3 Cf. Griffiths 1971 : 13.

108

Second Empire, appelaient nécessairement une forte réaction. Rien de surprenant à ce que cette réaction se fît d’abord sentir dans le monde de la littérature où l’imagination et la sensibilité jouent un rôle privilégié ».4

Or, les convertis dont les noms n’étaient pas sans importance à l’époque même5 sont poussés à se battre contre toute une série de préjugés régnant à la Sorbonne et ailleurs, comme par exemple l’opinion répandue qu’un

« homme ne pouvait en aucun cas être intelligent et catholique ».6 Pourtant dans son étude étendue consacrée au phénomène des conversions, Frédéric Gugelot mentionne que la conversion au catholicisme concerna plus de 150 personnalités de toute appartenance religieuse, il s’agit donc d’un groupe assez important, digne d’attention des critiques. Il est possible d’en distinguer deux vagues importantes : la première, située dans les années 1880 et la deuxième dans les premières années du XXe siècle. Deux causes principales suscitent la première : d’une part, la politique actuelle du gouvernement laïc et les mesures anticléricales prises depuis les années quatre-vingts, et d’autre part, le matérialisme lié au positivisme en philosophie et au naturalisme en littérature ; elle est représentée par exemple par Léon Bloy, Paul Claudel, Paul Verlaine, Paul Bourget, Ferdinand Brunetière, François Coppée, Joris-Karl Huysmans. La nouvelle vague concerne la génération suivante et apparaît comme une réaction forte contre la campagne anticléricale de l’administration Combes, contre la séparation de l’Église et de l’État en 1905 ou bien encore contre le climat de la société, hostile envers la religion. Les artistes convertis sont, dans la plupart des cas, les fils spirituels des premiers : Jacques et Raïssa Maritain (les filleuls de Léon Bloy), Adolphe Retté (converti après avoir lu le roman En Route de Huysmans), Charles Péguy, Francis Jammes, Ernest Psichari et les autres. Raïssa Maritain en donne un témoignage précieux dans son livre Les Grandes Amitiés :

« Autour de grands croyants comme Léon Bloy et Paul Claudel, et même d’incroyants comme Maurras et André Gide, parmi leurs plus proches amis, et parmi leurs disciples, ces conversions ont été très nombreuses. Autour de Gide elles sont remarquables par l’importance du rôle artistique et littéraire et la qualité intellectuelle de ceux qui avaient appris de lui à devenir libres de lui, et qui ont plus tard compris mieux que lui la parabole du Fils Prodigue ».7

L’appartenance à l’Église est sécurisante pour les convertis comme si l’Église était pour eux une « citadelle assiégée »8. Ils y découvrent

4 Ibid., 17.

5 Par exemple: Huysmans, Claudel, Verlaine, Bloy, Péguy, Jammes, Maritain.

6 Ibid., 18. (C’est nous qui soulignons.V. B.)

7 Maritain 2000 : 277.

8 Cf. Gugelot 2010 : 497.

109

également la possibilité de partager leurs opinions avec d’autres croyants, ce qui introduit dans le monde intellectuel la dimension de l’élitisme, d’autant plus que certains d’entre eux rencontrent toutes sortes de difficultés en travaillant dans le domaine public (enseignants, fonctionnaires). Hervé Serry analyse le phénomène des intellectuels convertis9 en se servant de la théorie des champs de Pierre Bourdieu : il distingue les champs, littéraire et religieux, où il essaie d’étudier les affinités ainsi que le danger d’une certaine concurrence :

« L’autonomisation du champ intellectuel en général et du champ littéraire en particulier est un processus historique qui voit la communauté des pairs devenir le juge de la qualité de la production culturelle contre les pouvoirs politiques, économiques et religieux : les « règles de l’art » passent aux mains des artistes.

Cette autonomisation est cependant toujours relative ».10

Les œuvres littéraires des artistes convertis11 représentent une partie de la littérature française que Richard Griffiths désigne par le terme du « renouveau littéraire catholique »12 en expliquant qu’il s’agit « des écrivains qui, pour la première fois depuis deux siècles, allient de profondes convictions religieuses à un véritable talent littéraire ».13 La littérature connaît donc dans les années 1880 des sujets religieux apparaissant dans tous les genres littéraires (roman, poésie, théâtre) et qui correspondent aux questions nouvelles de leurs auteurs se faisant ainsi l’écho de l’esthétique ouverte au début du XIXe siècle par Chateaubriand, tout en la développant sous forme de nouvelles qualités stylistiques, éléments mystiques ou romans autobiographiques religieux. Joris-Karl Huysmans propose ainsi, après l’évasion esthétique d’À rebours (1884), un roman de conversion En Route (1895), la meilleure réalisation du genre, Léon Bloy publie Le Désespéré (1887) et La Femme Pauvre (1897), Max Jacob écrit sa confession dans La Défense de Tartuffe (1919), Raïssa Maritain témoigne plus tard de tous ces événements dans son livre déjà mentionné, Les Grandes Amitiés (1949), etc. Les témoignages de conversion représentent désormais une grande importance car le converti prouve l’actualité de son discours et sa pérennité, et devient ainsi vecteur du message de l’Église au cœur de la société.14 On parle même de la naissance d’un nouveau genre littéraire, du « récit de conversion »15 sous forme soit documentaire, soit romanesque. C’est en effet une autobiographie spirituelle, souvent issue

9 Serry 2004.

10 Serry 2004 : 14. (Avec référence de Bourdieu 1992.)

11 Cf. Bakešová 2009.

12 Griffiths 1971 : 13.

13 Ibid., 13.

14 Cf. ibid., 227.

15 Expression de Gugelot, voir Gugelot 2010 : 227.

110

des journaux intimes des auteurs ayant deux objectifs : les intellectuels veulent d’une part témoigner de leur cheminement vers un accomplissement concret, une relation plus personnelle avec Dieu, et d’autre part, parler de Dieu d’une manière nouvelle, avec le souci de présenter le témoignage d’un vécu authentique. Les aspirations aux valeurs littéraires de tels récits ne sont qu’au second plan, restant pourtant tout aussi intéressantes.

La conversion de certains intellectuels en France et leur création artistique ont encore un autre aspect qui ne devrait pas être omis : un engagement religieux. Selon Claudel, le devoir de chaque chrétien est de

« mettre son talent au service de Dieu »16, les intellectuels français convertis sont donc poussés à découvrir leurs propres talents ainsi que la façon dont ils peuvent servir les besoins de l’Église actuelle. Durant cette période, ils se sentent tous obligés de renforcer la position de l’Église, soit en la défendant directement, soit en témoignant de leurs expériences spirituelles. On pourrait se poser la question de l’efficacité de ces manifestations : les hommes politiques peuvent-ils les comprendre comme des réactions à leur système politique ? Acceptons comme réponse une citation tirée à nouveau du livre de Gugelot, nous documentant sur le fait que le milieu laïc17 est bien au courant de tout ce qui se passe dans le camp

« opposé » : « Encore un converti ! Est-ce que cela va bientôt finir ! Il semble que ça devient une mode. Ces gens-là nous ennuient, ils manquent de pudeur et de tact ; qu’ils gardent pour eux leurs confidences »18.

L’identité artistique des écrivains convertis au catholicisme est étroitement liée à leur identité spirituelle, à leur origine religieuse ou autre, le milieu d’où ils arrivent dans l’Église catholique. Frédéric Gugelot en distingue cinq groupes : 1, les convertis « fils prodigues » ou bien ceux qui redécouvrent la foi de leur enfance ; 2, ceux qui se convertissent d’un athéisme ; 3, les anciens protestants ; 4, les juifs, et finalement 5, quelques convertis issus de l’islam.

Le premier groupe, le plus étendu, est représenté par ceux qui furent baptisés pendant leur petite enfance et suivirent une éducation catholique, souvent même ayant fait leur première communion. Or, durant leur adolescence ou leur jeunesse, ils perdirent leur foi et s’éloignèrent de l’Église. Il est intéressant de voir qu’ils gardent malgré tout un respect pour les choses religieuses, cependant ils ne sont plus pratiquants et leur

16 Gugelot 2010 : 342.

17 L’expression « laïc » est utilisée ici dans le sens « qui ne fait pas partie du clergé » (voir Le Grand Robert), séparé du milieu religieux.

18 Gugelot 2010 : 229. (Gugelot reproduit la citation de Louis Le Cardonnel, Mercure de France, 1er août 1907, du livre De l’Anarchie intérieure à l’union mystique, quelques témoignages sur A. Retté, Paris, A. Messein, 1957, p. 30.)

111

foi disparait progressivement. Ceux qui se reconvertissent plus tard, en expliquent les raisons dans leurs récits de conversion :

« C’est une religion d’amour, de foi intense et de ferveur mystique que recherchent ces convertis. Leur situation spirituelle d’anciens catholiques les pousse à insister sur la grande bonté de Dieu et son pardon de tous les péchés. Dans le même temps, ils souhaitent marquer leur opposition au catholicisme du XIXe siècle qu’ils perçoivent comme rétréci et froid, c’est-à-dire, pour eux, janséniste ».19

François Mauriac le confirme dans un de ses textes, lui aussi ayant vécu une rupture avec sa foi d’enfance pour la quête d’une relation plus personnelle avec un Dieu plein d’amour et de miséricorde : « Étrange religion qui ne paraissait tenir qu’à des interdits »20. Parmi les « fils prodigues » nous trouvons les noms d’artistes connus tels que : Léon Bloy, Paul Claudel, Paul Verlaine, Joris-Karl Huysmans. Les histoires de leurs conversions sont vraiment diverses, on lit chacune comme une aventure.

Le nombre des convertis issus de l’athéisme est restreint par rapport à la « foule » d’intellectuels du premier groupe. Ce fait est facilement explicable : au tournant du siècle, il n’existait pas encore beaucoup de familles en France qui se soient complètement coupées de toute pratique religieuse.21 Néanmoins, le milieu laïc d’où proviennent ces convertis reste hostile envers la religion de leurs prochains, tout en ignorant les raisons de leur démarche. Nommons seulement deux personnes concernées, les plus célèbres : le poète Pierre Reverdy ayant découvert la foi dans sa jeunesse grâce à son ami juif converti Max Jacob, et le philosophe et dramaturge Gabriel Marcel, ayant été baptisé à l’âge de 40 ans.

En ce qui concerne les convertis du milieu protestant, nous assistons au même effet que pour les catholiques d’enfance. La foi des parents fut transmise aux enfants, mais comme elle ne se développe pas d’une façon qui attirerait l’attention des jeunes, la plupart d’eux se séparent de l’Église à l’adolescence et deviennent agnostiques ou athées. Dans ce groupe d’auteurs, aussi restreint que le précédent, nous trouvons les romanciers Valéry Larbaud et Julien Green et le grand philosophe Jacques Maritain.

Pour pouvoir se convertir au catholicisme, les protestants d’origine doivent d’abord surmonter une aversion profonde adoptée dès leur enfance par rapport à l’Église catholique. Gugelot constate que : « Seul le catholicisme leur présente le visage qu’ils attendent : le Christ, la foi, une Église. Cette aspiration à l’unité, partagée au même moment par les

19 Gugelot 2010 : 125.

20 Lacouture 1980 : 233.

21 Dans une étude de Mona et Jacques Ozouf, on peut voir qu’il s’agissait surtout des familles des instituteurs où souvent, quand même, les grands-parents firent baptiser clandestinement leurs petits-enfants. (Cf. Ozouf – Ozouf 1992)

112

convertis des années 1905-1915, explique leur passage du protestantisme au catholicisme ».22 Concernant Jacques Maritain, il est déjà, au moment de sa conversion, un philosophe humaniste érudit et « son cheminement vers la foi, décisif à partir de sa rencontre avec Bloy, revient donc pour lui à modifier « le but final » de son combat, Dieu remplace l’humanité, et le salut divin, le salut temporel ».23

Le nombre de convertis du judaïsme au tournant du siècle est surprenant car ils sont presque aussi nombreux que les « fils prodigues ».

En fait c’est l’affaire Dreyfus qui divisa le champ des juifs : certains trouvent la solution dans l’Église catholique, pour le groupe opposé, c’est au contraire un signe de prise en compte de leur identité.

« Ce sentiment de trouver une famille de substitution est un facteur propice au cheminement de ces chercheurs de Dieu dont la quête conduit à distendre les liens familiaux et amicaux précédents.

Le milieu Bloy est là parfaitement adapté. Il s’est en effet constitué comme une famille de remplacement pour convertis » 24.

Il s’agit en fait de l’union des deux Testaments25. Parmi les juifs convertis rappelons avant tout Raïssa Maritain et le poète Max Jacob.

Les convertis provenant de l’islam sont en réalité très peu nombreux à cette période. Gugelot compte quatre personnes qui se firent officiellement baptiser. Ils sont nés dans la plupart des cas dans les pays du Maghreb et leur rencontre avec l’Église catholique est due à la présence coloniale des Français dans leur pays. Par opposition à tous les autres groupes, les musulmans ne se séparaient pas de leur foi, mais ils restaient de fidèles pratiquants de leur religion. Ils confirment tous qu’ils ont toujours gardé la certitude de l’existence de Dieu et le sens du sacré. L’un d’eux, Abd el-Jalil, note : « Pour qu’un musulman s’intéresse à une autre religion, il faut que quelque chose le provoque à réfléchir, car le musulman est tellement convaincu de sa foi, de sa religion, qu’il n’éprouve pas le besoin de s’intéresser à une autre religion ».26 Ils purent tous réaliser leur décision, d’abord secrète, en France. Ils aiment souvent ce pays, admirent son système scolaire, pourtant, ils ne veulent pas lier leur démarche à l’amour pour un pays, au contraire, ils veulent souligner leur cheminement long et bien réfléchi depuis l’islam jusqu’au catholicisme. En conséquence, ils doivent subir de graves ruptures avec leurs familles, qui ne

22 Gugelot 2010 : 169.

23 Ibid., 151.

24 Ibid., 206.

25 Ibid., 205.

26 Cité de Gugelot, voir Gugelot 2010 : 217. (Il cite Assouline, Les Nouveaux convertis, p. 129, qui reprend le bulletin de Abd el-Jalil, polycopié du collège franciscain de Fontenay-sous-Bois, de mai 1964.)

113

comprennent que difficilement leur acte. Par contre, leur nouvelle famille

« adoptive », celle de l’Église, les accueille avec joie.

Constatons pour conclure que la pensée catholique de la fin du XIXe et du début du XXe siècles fait partie intégrante de tous les autres courants, artistique, philosophique ou littéraire, et représente ainsi un champ assez vaste de sujets et d’événements. L’identité nationale des intellectuels convertis au catholicisme s’intègre dans leur combat contre les hostilités des représentants de la IIIe République envers l’Église ; ils s’engagent pour une France moderne mais de nouveau enracinée dans la tradition du christianisme qui réapparaît malgré toutes les tendances destructives des siècles précédents. Par conséquent, les convertis issus de plusieurs milieux sociaux et spirituels trouvent leur identité artistique dans les genres qui correspondent le mieux à leur besoin d’exprimer leurs transformations intérieures aussi bien qu’ils trouvent leur identité spirituelle dans la foi catholique qu’ils viennent de découvrir d’une manière nouvelle et personnelle.

114 Bibliographie

BAKEŠOVÁ, Václava (2009), LaConversion de Joris-Karl Huysmans, Brno, Masarykova Univerzita.

BOURDIEU, Pierre (1992), Les Règles de l’art. Genèse et structures du champ littéraire, Paris, Seuil, 1992.

CLAUDEL, Paul – FRIZEAU, Gabriel – JAMMES, Francis (1952), Correspondances 1897-1938, Paris, Gallimard.

GRIFFITHS, Richard (1971), La Révolution à rebours, Paris, Desclée de Brouwer.

GUGELOT, Frédéric (2010 [1998]), La conversion des intellectuels au catholicisme en France (1885-1935). Paris, CNRS Éditions.

La Sainte Bible. Paris, Desclée De Brouwer, 1964. (Traduction par l’école biblique de Jérusalem)

HUYSMANS, Joris-Karl – COGNY, Pierre –LAMBERT, Pierre – ARTINIAN, Artine (1965), Là-haut ou Notre-Dame de la Salette suivi de Journal d’En route, Paris, Casterman.

LACOUTURE, Jean (1980), François Mauriac, Paris, Seuil.

Le Grand Robert. Paris, Le Robert/SEJER, 2005.

MARITAIN, Raïssa (2000), Les Grandes Amitiés. Souvenirs, Paris, Parole et Silence.

MUGNIER, Arthur (1927), J.-K. Huysmans à la Trappe, Paris, Le Divan.

OZOUF, Mona – OZOUF, Jacques (1992), La République des instituteurs.

Paris, Seuil.

PERCHE, Louis (1958 [1948]), Paul Claudel, Paris, Seghers, coll. Poètes d’aujourd’hui.

Salve : revue pro teologii a duchovní život. N° 4, vol. XIX. Prague, Krystal, 2009.

(Thème : Francouzský katolicismus [Le catholicisme français]).

SERRY, Hervé (2004), Naissance de l’intellectuel catholique, Paris, La Découverte.

115 Luca Molnár

L’évolution de la hiérarchie des genres picturaux