(A
francia hülügyminiszterium levéltárában).XXVII.
Vigoorooz
emlékirata.Mémoire presentéa la cour de Francé par le Báron de Vigonroux, etántactuelement auservice deSonAltesse SerenissimeMonseigneurlePrince de Transilvanie,le31.de
Decembre, 1727.
Panaszkodik,
hogy minden
fellrl rágalmazzák. Ellenségeimég
azért is kárhoztatták, hogy elhagyta Franciaország szolgálatát 8idegen szolgálatbalépett.«Ilya quelquesannéesque lebruit d'une guerre prochaine enEurope
s'etant repandu, en Moscovie,ou
leRepresentant servoit en qualitéde colonelen chef
du
premierRegi-ment
dedragons,ildemanda
etobtint soncongé pourveniren Francé fairé ses offres de serviceau
Roy.»1726 ápril hava óta Morville gróffal, Lamarckkal és másokkal érintkezve, azoktudtára adták,
hogy
ezid
szerintnem
fogadhatják a király szolgálatába.Akkor
ép úgy mint most, pénzzavarban volt, (fiai is vannak, akik sokba kerülnek) smégsem
fogadta el idegen fejedelmek ajánlatát;mert attól tartott,
hogy
fegyverét esetlegFranciaországellen vennék igénybe.Az
erdélyi fejedelem (Rákóczi) azonban más; aznem
idegen.«Le
Representant(t.i.Vigouroux)n'ajamaisregardécomme
etrangerun
Prince qui est l'exemple vivant de la Religion Catholique, et qui aioujmirsétéflits FrangoisquelesFrangcnsmerne,par sonattache-ment
inviolable a la personne sacrée des Rois, etaux
interets de l'Etat.*«Quant
au passeports que le Representantademandé
a la cour,il l'a fait conformement
aux
ordres deSon AltesseSerenissime pouraller en Hollandé y soUiciter les Etats Generaux de vouloir bien adberer dans le Congres
aux
bonnes volontés avec lesquelles elle espere que la Francé voudra bien s'employer pour luy fairé obtenir justice sur ses legitimes pretentions.*«Quand
ilademandé
de passerparlaPologne,c'estquelePrince considerant le peu de fonds qu'il dóit fairé sur les faveurs presentes de la Porté, et craignant qu'elles ne changeassent si le ministereIt*
venoit ay changer, pense en
bon
pere demoyener
en ce país la, une-retraitte pourM.
leDuc
de Mekouits* son fils, par la prevoiante crainte, que dansun
tems de malheur, que Dieu eloigne, ce jeune Princese voiant exclusde la Chretieneté,et privéde toute ressource pourvivreailleurs,nefutforcépardes raisons éolidesdedroitnaturel a penser a des entreprises plus hasardeuses que menagées: il y aun
an que le Prince fitcommuniquer
ses ueües a ce suiet au ministere de Francé par le feu marquis d'O.La
cour repondit que rien n'etoit plus juste que cetté sage preuoiance du Prince en conse-quence ilm'a
ordonné de passer en ce pais la pour voir ce qu'il auroit afairé ausujetd'unetérrequi luy appartient,et qu'ilalaissée,.en quittant la Pologne, sous la protection d'une
dame
du pais.»Utazásának
semmi más
céljanem
volt, mint ez az ügy;minden
egyéb csak rágalom.Du
Vigouroux (saját keze.)(A
francia külügyminisztérium levéltárában)^xxvni.
Dosvay János
Vígourouzhoz, becsületügyben (az 1730-as évek elején).«il faut que vous vous raccomodiez avec le jéun
Comte
For-gács, qui se croit fórt deshonnoré des vous la maniaire qu'onlui ont
mandé
de Constantinople aprés votre d part, que vous avez fórt mai parié de lui devant tous lemond
et que vous l'avez dififamée disant á tous que vous l'avez veu le comte Forgács mais i! est pauvrecomme \m
gueu et aprés plusiturs choses difíamant il est plain de verole;quand
ce jeun cavallier a receu cet létre il étoitaux
espoir se plaignent a tous lemond comme un
arragée, disant qu'il faut que tout ce qu'onm'a
dit de lui fait vrais puisque sans le connoitre et sans avoir luidonné aucune suget
m'a
diffamé.»(Másolata a
M.
N.Múzeum
kézirattárában.)• Makovicza.
XXIX-XLVI.
Ploaghman
viszontagságai ésRákóczi
«kalózkirály8ága».1.
1725-
18 Gennaro Al Bailo álla PortaOttomana
II diligente Dispaccio di Vostra Signoria, che nella data de dl 13 di
Novembre
ci é ultimamente pervenuto, ci significa qaantole ha comunicatoil Picca, equanto confidentementeleha sígni&cato
il Signor Derlingh, riguardo aH'Ambasciator di Francia, et al
Pren-«ipe Ragozzi.
Come
li particolari inesso Dispaccio enomerati meri-tavano tntta la cautella, cosi collá sua prudenza si é saviamente diretta nell' avanzarli al nostro Tribunale, dal quale poi ne vien fatto queír uso che giudica uecessario per il pubblico servitio.Ci é ben nóta l'attentione, ela vigilanza eh'Ella prestaa tutto ció che puo havere rapporto
non
solo állaRepubblica,ma
all' Impe-ratorepertutte quelle Idee, che potesserohavereliTurchiinturbare la pace.Qaesta ci assicura non solo della continuatione in avvisarci,
ma
nel cercar ancora di penetrare con desteritá ció che si andasse pensando da codestoGovemo,
et se si andasse facendo alcun pre-parativo,che havessealtrooggetto,che quello della GuerradiPersia.Almorö
Pisani Inquisitor. Ferigo Calbo Inquisitor Alvise
Comer
Inquisitor.(Titkos jegyekkel írt eredetijének másolata a velencei állami levéltárban. Inquisitori diStato. Busta
Numo.
150.)(d'Andrezel) á
M.
de Morvilhdu
13 Juillet 1725.D
s'est rassemblé depuis plusieurs annéesaux
environsde l'Islede Madagascar jusques á 14 vaisseaux montez par des forbans de toutes sortes de nations qui n'ont d'autre retraite que des isles de-sertes au
Nord
etNord
Est de Madagaacarou
il vont se mettre a l'abrydu
mauvais tems et reparer leurs batimens.Les dits forbans sóit qu'ils se laasent d'une vie aussi vagabonde
accompagnée
de tant de fatigues et sujete a tant d'accidens,oa
rebutes de la cont'nuer par quelques echecs qu'ils ont re^us depuis peudelapartdevaisseauxdelachretienté quileurontdonnéchasse, -cherchent la protection de quelque puissance souveraine qui leur procure un azile avec des terresoü
ils puissent mettre en suretéeur vie et tout leur butin qui est trés eonsidérable,
aux
offres pareux
de donner la huitiéme partié des effets qu'ils aporteront pour acheter la dite protection et de payeren outre sixpour%
de droitssur ceux qui leur resteront et s'engageant mérne de servirle Prince quiles recevroit.
Le
SieurPlowman
étoit ditil chargédefairé cetté propositionaux
Républiques dé Barbarie et a voulu se fairéun
mérite a la Porté de luy donnerla preference se faisant fórt defairé trouverbon aux
dits forbans tout ce qu'il feroit.Le
ditPlowman
a fait plusieursdemandes
sóit de vaisseaux du G. S. pour aller chercher les dits forbans, sóit d'argent pour en construire en Hollandé avec lesquels il s'offroit d'aller les prendre eux etleurs effets,queleGrand
Visira toujours rejetéesne trouvant pas la paroliédu
ditPlowman
une caution suffisante et ne voulant pas entrer dans aucune dépense. II paroit seulement jusqu'icyque
la Porté pourro-'t consentirárecevoirles dits forbans sous sa protec-tionetleuraccorder des terresá condition qu'ilsvinssenteux
mémes
avec leurs vaisseaux se rendre au port de Suez, ce qui leur seroit d'autant moins difficile qu'ils ne sönt pas infiniment éloignésda
détroit de Babelmandel par lequel ils feroient le trajet de la
mer Bouge
jusqu'au port de Suez.8.
a
M.
le Comte de Morvilkdu
13 Juillet 1725.Reflexions sur la proposition
du
SieurPlowman.
En
relisantma
lettre ilme
vient unepensée döntjeme
hazarde de vous fairé part.II
y
a dans l'archipelun
grandnombre
d'Isles inhabitées ou ilpourroit peut étre prendrefantaisie
au Grand
Visir d'établir les dits forbans avec la vuedess'en servir pourlesopposeraux
courses des Maltois, il pourroit enméme
tems leur accorder quelques vieux bátimens á reparer qu'il tireroit des ports d'Egipte en échange de ceux que les dits forbans laisseroient á Suez et ces demiers servi-roientaux
Turcs pourlecommerce
delamer Rouge
et de l'Arabie, cela nelaisseroit pas d'étre de quelque conséquence pour la religion de Malte, et c'est ce qui m'obligera de suivre la chose pour vous donner avis, de larésolution qu'auraprise leGrand
Seigneur. IIy a bieneu un ancien projetdu
temsdu
visir AliPacha pourdemembrer
l'archipel et en fairé une souveraineté particuliere en y établissant
un
prince ouBey
a l'instar des chefs des Eepubliques de Barbarieou au
moins des princes de Valachie et de Moldavie, leqaelBey
ou prince seroit tributaire et dependant toujoiirs de l'autorité de la Porté. Ce qui auroit bU lieu 8Í le dit AliPacha
n'eut pas été tué ála bataille de Waradin et fut resté en place.
4.
(D'Andrezel de Morviüehoz.)
Du
21 aout (1725).*La
propoaitiondu
S'eurPlowman
a échoué,iln'est plus question de donnerazileaux
dits forbans, et il s'en retoume á Tunis poury
marier avec le filsdu
Consul anglois, une de ses fiUes qu'il a fait venir ^e Malte ou est safemme.
5.
a
M.
le Prince Bagotskiá Constantinople le 16.
Novembre
1725.Dans
lemoment,
Monsieur, que jeme
préparois á proffiterdu beau
tems qu'on appelle en Francé l'Eté da la Saint-Martin pourallerpasserdeuxjoursáBelgrádé avec
M.
d'Irling,Tofficierhongrois de V. A.m'a
remis la réponse qu'elle a eu la bonté de fairé le 14®á ma
longue lettre des 6®, 7* et 9® de ce mois. Je l'emporte pour la dechiffrer á loisir, mais avant de partirj'ay pris des mesures pour fairé insinuerauGrand
Visir parledrogman
de la Portéque j'entre-rois s'il m'étoit permis dans la nouvelle instance que Votre Altesse faisoit pour pouvoir fairé transporter icy le corpsdu
feuComte
Bercsiny qui avoit souhaité d'etreinhumé
aupres demadame
safemme
dans l'eglis des PeresJesuites de Galata par raport al'amitié qui étoit entremoy
et le fils attachéau servicedu
Boy. J'ay chargé le sieur Pacot quejelaisse icy demander
4M.
l'abbéMuUer
quelle sera la reponsedu drogman
de la Porté.Au
resté, Monsieur, j'ay étéce matin assezlongtems avec cedemier etj'ay apris quelesieurPlowman
anglois que les gazetes avoient dechíffré trés peu a son avantage, devoit, (s'il n'est deja party) fairéun
voyage secret ékRodostó, pour vous entretenir de propositions assez mai digérées et que la Porté n'avoit pas bien goutées parce qu'il croit ne s'etre pas assez bien expliqué et qu'il s'imagine se fairé
m'eux
entendre* Hivatkozik rá 1725. nov. 20-iki levelében.
parlecanalde Votre Altesse.Lesconsequences desdites propositions
me
paroissent trop dangereuses pour la chretienté pour penser qu'il ait meilleurmarché
de Votre Altesse quedu Grand
Visir. J'auray l'honneur de vous écrire plusamplement
ámon
retour de Belgrádé qui sera lundy prochain. J'acheveray les entret'ens de Theophile etde Cosmophile.
6.
a
M.
le Prince Bagotskiá Constantinople le 20
Novembre
1725.H
n'y anuUe
attention áfairé á l'article demon
Postscriptum en chiffre dema
lettredu
9* sur l'ombrage que, j'avoismarqué
á V. A. qu'on m'avoit dit quema
relation avec V. A. donnoit aM.
d'Irling.
L'écrit que je luy
communiquay
il y a quelque tems de la part de V.A.m'a souvent donnélieude luyparlerdel'occasionquim'avoit procuré l'honneur de votre connoissance et il nem'a
rien temoignéque
de trés obligeant sur votre compte.En
demier lieu mérne sur le refus queleGrand
Visiravoit fait de la permission que V. A. luy avoitdemandée
de fairé transporter icy le corpsdu
feuComte
Ber-csiny,comme
il s'etoit tenu a ce sujet quelques discours qui sem-bloient en'attribuerlacauseau Eesident d'Allemagne,ils'est declaré n'y avoir aucune part, quemai
a propos on vouloit fairé entrer la dedans des raisons d'État, et que c'étoit chose louable et digne de la piété de Votre Altesse de souhaitter rendre ce demier devoir d'amitié aun homme
qui luy a toujours été attaché.J'aydit
au
sieurBelinmon
chancelierce qui étoit contena dansle P. S. de la lettre de V. A. surl'execution
du
testamentdu
deffunt et je feray passer pardeux
occasions differentes les deux paquetsque
l'abbéMuUer
a adressésau
sieur Pacot pour leComte
Beresinyfils; pourla premiereje
me
servirayde lavoye deSmime
dans cettésemaine.
Je crains de vous avoir parié hebreu dans
ma
lettredu
16" s'il est vray que lesieurPlowman
dönt ily a été question nesóit point allé k Rodostó. Lesmémes
personnes charitables qui l'avoient pi•denigré dans les gazetes et qui vraysemblablement sönt en ce pays cy ont fait courir le bruit qu'il étoit allé chez le Ca-pitan
Pacha
ou il s'etoit fait Turc. II peut bien avoir été chez leCapitan
Pacha
avec quiila eudeja plusieurs conf érences etn'avoir point ditou
il alloit, mais pour Turc je repondrois bien qu'il n'en est rien, et pourmieux
mettreVotre Altesseau
fait de ses idées, jeluy envoyel'extrait d'unelettrequej'écrivois ace sujetle 13*Juillet
demier
á M. leComte
de Morville a qui jemanday
le 21 Aoút* que la propositiondu
dit SieurPlowman
avoit echoué. Je l'avois fait suivre de trés prés et ilignore que jesache rien de ses manceuvres, ainsi je suplie Votre Altesse de garder pour elle seule ce que j'ay rhonneurde luymander
a cesujet, elleen feral'usage qu'ellejugera 4propos maisjeeraindroisquela Porté n'assignát peutétre aus dits forbans des terres dans l'archipel et s'en servit pour s'opposeraux
C!orsaires maltois et mérne á inqu'eterles vaisseaux de la Religion, C'est ce que je pensois en
marquant
á Votre Altesse que les con-séquences d'un pareil plánme
paroissoient dangereuses pour la chretienté. Je finis cetté longue lettre par les assurances demon
profond respect pour Vostre Altesse.
7.
(Bákóczihoz.)
a Constantinople le
1" Décembre
1725.Avant hier au matin, Monsieur,je fus trés surpris de
me
voir annoncerleSieurPlowman
quime
remitla lettre döntVotre Altesse l'avoit chargé pourmoy
le 21®. J'avois eul'honneurde vousmander
ce qu'on avoit dit sur son compte depuis qu'il avoit disparu de lamaison
du
Sieur Constantinangloisou
a sonretouron
n'a plus voulule recevoir.
CJomme
je savois les soup^ons de l'ambassadeur d'Ang-leterre sur ses menées secretes k la Porté et la deffiance qu'iln'avoitpu
dissimuler sur la conduite de cet anglois dönt il étoit faché de n'avoirpu
penetrerlesaffaires,J'apprehenday qu'ayant dit,(comme
il
me
leconfessaluy mérne)qu'il étoit alléa Rodostóou
Votre Altesse l'avoit fait appeller et qu'il m'en avoitméme
aporté une lettre, le dit ambassadeur d'Angleterre ne crut qu'ily
eut quelque mystére entreleditPlowman
etmoy
etdecraintequ'ilneluyarrivStquelque chagrin,comme
il venoit d'en essuyer un grand de la partdu
dit Sieur Constantin,jeluyconseillay des'enretoumer chezledrogman
delaPortéou
ilavoit couchéla nuit précédente, et aulieu ded'ssi-muler la visite qu'il m'avoit faite je feignis seulenient d'ignorer qu'il eut été econduit par son hosteetj'envoyay fairé compliment a
Madame
Constantin quiest unefemme
trésvertueuseetbonne catho-lique, sur le retourdu
SieurPlowman
en luymarquant
que je ne doutois pasquejene dusse áelle le remerciementqu'il m'étoitvenu
* Ld. e dátum alatt, föntebb.
fairéde n'avoir pas donné dans les mauvaisbruits qui avoientcouru sur son
changement
de religion. Cela a fait un trés bon effet et a reparé l'imprudence et l'indiscTetion de l'anglois qui devoit avant de partir pour Rodostó ou ne pas dire qu'il alloit áBuyukdéré
chez leSieurPimbreton,ou nepointdirea sonretour,qu'ilvintdeEodosto.Le drogman
de la Porté envoyahiermatin chercher le Pere Jacques Cachod. II luy dit qu'il luy feroit plaisir derecevoiraux
Jesuitesde Galata le ditPlowman
et qu'il repondoit demon
consentement et de celuy de l'ambassadeur d'Angleterre.Le bon
pere Cachod sans autrement songeraux
conséquences, au lieu de luy répondre simplement qu'iln'étoitpointlemaitre dese charger de rien a cet égard, puis qu'il avoit un supérieuretun
ambassadeur, sansl'agre-ment
desquels il ne pouvoit admettre personne dans la maison de Galata, se contenta de dire qu'il ne croyoit pas qu'il y eut deloge-ment
chez les Jesuites, mais qu'ils pourroient luy fairé donner unechambre
dans une maison vis á vis a eux apartenant d'oü il pour-roit egallement venir prendre s'es repas chez eux et tout de suite ilamena
diner á Galata leurnouveau
pensionnaire sans que je fusse informé de rienny
deleur partny
de celledu drogman
de la Porté.J'avois proffité
du
beau jour pour m'aller promener dans lefonddu
portdu
cotéd'Okmedan,
et ne revins que tárd. J'apris que lePere
Cachod
etoitvenu
l'apresmidy
chezmoy
et que ne m'ayant point trouvé il avoit étéchez Monsieur 1'Ambassadeur
d'Angleterre, onme
ditenméme
tems queleditSieurPlowman
étoitaux
Jesuites.J'avoue á votreAltessequecelam'etonna beaucoupetjene balan^ay pas d'envoyer sur le
champ
leSieur Pacot chezl'Ambassadeur pour luydemander
a luyméme
l'explication de ce qui étoit une enigme pourmoy;
que j'ignorois totalement ee qui s'etoit passé, que je le prioisdem'instruirede cequ'ilen savóitet ques'iletoit vrayqueles Jesuites eussent re^u chez eux cet anglois de quelque part que9'eut été puisque 5'avoit été sansma
participation, je ferois rouvrir les portes de Galata pour l'obhger de sortir de la maison des Jesuites.L'Ambassadeur
re^utmon
compliment parfaitement bien, ilme
fit remercierde
mon
attention et direqu'ilne prenoit aucim interest aun homme
d'une conduite aussi extraordinaire qu'ilne regardoit pointcomme
desanation,qu'ausurplusill'aimoitmieux
laqu'ailleurs, puisqu'il étoit avec des gens sages qui le detourneroient de fairé quelque nouvelle extravagance, et qu'il en avoit parié deméme au
pere Cachod mais qu'il ne croyoit pas qu'il eut couche chez eux.J'ay envoyéchercher cematin lePereBaillea quilePere
Bour-gnon
avoitremis par interimlasuperioritéenson absence. Ce premier a rejeté la faute sur le Pere Cachod qui avoit cru que ledrogman
de la Porté ne luy auroit point fait une pareille proposition sans m'avoir consulté. Je l'ay fait convenir qu'au moins luy supérieur auroit dfi tácher de reparer a
mon
égard la trop grandé facilité quelePere Cachodavoit eue as'en raporterentierement au
drogman
delePere Cachodavoit eue as'en raporterentierement au