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Contribution á l’analyse du langage politique

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Contribution á l’analyse du langage politique

« L ’espoir s’use et les mots aussi. » (Michel Rocard, 1989, 8) Mihalovics Árpád

1. Quelques centres de recherche

La derűiére renaissance de la cominunication politique commence au début des années soixante, avec le développement rapidé des moyens audiovisuels, autrement dit la médiatisation de la vie politique.

Le discours politique se situe au carrefour de disciplines multiples : la linguistique textuelle, la pragmatique, la rhétorique, la sociologie, la psychologie et les Sciences de la communication ; celles-ci montrent un intérét particulier á l’analyse de sa problématique. En Francé, en Italie, dans les autres pays de l’Europe occidentale ainsi qu’aux Etats-Unis et au Canada, les ouvrages publiés sur le langage politique sont trés nombreux.

Chez nous, en Hongrie ainsi que dans les autres pays de l’Europe centrale, le nombre des recherches visant l ’examen de la communication politique n’est pás du tout considérable. Mais on pourrait dire qu’avec le changement de régime la glace est rompue.1

Avant de commencer á exposer l ’essentiel du sujet je pense intéressant de mentionner quelques ateliers et centres ou groupes de recherche excellents comme :

— GRADIP (= Groupe de Recherche en Analyse du Discours Politique) qui est une équipe de recherche rattachée au Département de Sociologie de l ’XJniversité du Québec á Montréal ;

— Ecole Doctorale « Pouvoir, Discours, Sociétés » sous la direction de *

* On se rapporte ici á l’ activité d ’ une équipe de recherche organisée sous la direction de Márton Szabó á l’Institut de Politologie de l’ Académ ie des Sciences de Hongrie, á Budapest. Les membres de cette équipe font des recherches plutöt théoriques. On peut mentionner encore LUniversité de Veszprém et l ’ Ecole Supérieure de Nyíregyháza oü quelques linguistes font des recherches sur un corpus multilingue concernant différents sujets du langage politique. Les chercheurs de cette équipe ont terminé la rédaction d ’ un dictionnaire politique en 7 langues.

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D. Maingueneau á l ’Université de Paris IV, et encore les universités de Paris XIII, de Toulouse, de Rennes II et de Strasbourg ;

— en Italie : Universitá degli Studi di Genova, Facoltá di Scienze Politiche.

Le directeur de recherche est Prof. Paola Cella qui a publié plusieurs ouvrages sur le langage politique. Elle s’intéresse au discours politique, autant au niveau théorique qu’au niveau méthodologique.

2. Une typologie et une taxinomie

La premiere difiiculté qui s’impose pour qui prétend systématiser la communication politique (en objet scientifique) réside dans són extrémé plasticité.

La deuxiéme difiiculté vient des sphéres d’application de ses styles multiples et variés, tant écrits qu’oraux.

On sait bien que les styles (et les registres de langue) présentent des variét és selon les conditions concrétes de leur emploi.

Jetons un coup d’oeil sur les sphéres de la politique :

« Politique »

1. Au sens absolu : art de gouverner la cité en vue d ’atteindre ce que l’on considére comme la fin supréme de la société.

2. Aux sens dérivés :

— définition et mise en oeuvre de moyens pour réaliser certains objectifs déterminés dans des domaines précis (politique de l ’emploi, politique des revenus. . ;

— méthode de gouvernement (politique libérale, autoritaire. . .) ;

— lutte pour la conquéte et l’exercice du pouvoir dans les sociétés.

(Debbasch, Ch.—Daudet, Y., Lexique de politique. Paris, 1992, 338.)

La politique, peut-on dire, a le mérne ágé que la société humaine.

Les expressions ci-dessous illustrent bien le fait que la politique tisse et influence toute notre vie.

Tableau 1

intérieure

extérieure/étrangére économique

financiére monétaire militaire

Politique

— salariale/de salaire

— d ’entreprise

— d ’ environnement

— des prix

— de cadres

— de soutien

— autoritaire

— libérale

— conservatrice

— cohérente

— spectaculaire

— tortueuse

(3)

— scolaire

— culturelle

— ecclésiastique

— démographique

— commerciale

— de santé publique

— d ’opposition

— de non-intervention

— de paix

— cinématographique

— de recherche et de développement technologique

— criminelle

— unitaire

— a double face

— de la troisiéme voie

— de sentiment

— sage

— prévoyante

II s’ensuit de tout cela que la communication politique dénote difFérents types d ’activités portant sur la communication gouvernementale, le discours politique et électoral, la propagation des messages politiques, le rőle des médiás dans les difFérents systémes politiques, les relations entre journalistes et politiciens, la Formation de l’opinion publique, l’influence des sondages, le marketing politique et électoral ainsi que la rhétorique politique. Mais il ne faut pás oublier non plus la simple « réaction » de l’homme de la rue p.

ex. face á une mesure gouvernementale.

A l’aide des deux tableaux suivants, on a l’intention de présenter d’une part une typologie de la performance politique et, d ’autre part une taxonomie opposant parole et discours de la communication politique.

Tableau 2

La typologie de la performance2 politique

1. Le langage scientifique de la politologie

(majoritairement écrit)

Style : scientifique

Formes e t / o u produits :

— monographies

— livres scientifiques

— essais, études, articles

— manuels universitaires

— conferences

2. Le langage des t e x t e s / d o c u m e n ts po litiques

{écrit)

Style : officiel

Formes e t / o u pro duits :

— décrets

— circulaires

— instructions

— directives

— contrats

3. La co m m u n i c a t io n po litiq ue

p r o p re m e n t dite (majoritairem ent órai)

Style : oratoire (ou déclamatoire)

Formes e t / o u pro duits :

— (les sortes du discours politique)

— communication électorale

— communication

« La performance dépend de la compétence (le systéme de régies), du sujet psychologique, de la situation de com m unication. . . et du contexte social. . . » (D ubois, J. et alii, Dictionnaire de linguistique. Larousse, Paris, 2001, 354).

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Communications et exposés scientifiques

— conventions

— traités

— accords

— pactes

L e s c o n v e n t io n s c o n c lu e s e n t r e d e u x o u p lu s ie u r s E t a t s s o n t r é d ig é e s d ’ a p r é s d e s m o d é le s c o n s a c r é s p á r l ’ u s a g e in t e r n a t io n a l .

4. La c o m m u n ica t io n m é dia tis ée (órai ou écrit)

Style : publiciste (langage de la préssé) F o r m e s e t / o u p r o d u it s :

Oraux :

— manifestation oratoire

— débats parlementaires

— interview

— informations politiques

— discussions

— sondages d ’opinion Ecrits :

articles de journaux et de revues

— articles de fond (éditoriaux)

— textes d ’informations

— déclarations

— pamphlets

— interview

— publicité politique

partisane

— communication présidentielle

— communication gouvernementale (ou ministérielle)

— communication locale

— discours commémoratifs, nécrologies

— allocutions

— discours solennels

— Communications diplomatiques

— négociations internationales

— informations

— comptes-rendus

5. L a politique « qu o tidienn e » de l ’ h o m m e de la rue

Style : langage (com m un) parié F o r m es e t / o u p r o d u i t s :

— monologues

— dialogues opinions critiques

— propagande

— excitations á l’émeute

(5)

Tableau 3

La taxinomie de la communication politique (proprement dite)

C O M M U N I C A T IO N

T A C T IQ U E P O L IT IQ U E 3 S T R A T É G IE

1

!

7

||

P A R O L E — communication électorale D IS C O U R S P O L IT IQ U E — communication partisane P O L IT IQ U E

| — communication présidentielle

I

S P O N T A N É E — communication N O N -S P O N T A N É ,

(improvisation, gouvernementale (ou T R A I T É

bricolage) ministérielle) P R É A L A B L E M E N T

I

— communication locale (pás d ’improvisation,

pás de bricolage)

interviews — communication diplomatique

i

débats manifestations oratoires

politiques discours solennels

discussions informations

publiques comptes-rendus

négociations (négociations)

3. Les terrains et les sujets d’analyse du langage politique Le langage politique comme phénoméne linguistique peut étre étudié sur différents niveaux de langue : lexico-sémantique, morpho-syntaxique, pragmatique et stylistique (v. p. ex. Mihalovics 2000, 29—61.). — On peut étudier le vocabulaire, les figures de rhétorique, les outils argumentatifs, les registres explicatifs. On peut fairé des analyses lexicométriques et, on peut réaliser de vraies analyses de discours pour lesquelles la communication politique se sert de terrain inépuisable. C ’est pourquoi le temps dernier, les analyses discursives sont de plus en plus fréquentes. — Le corpus d ’analyse est aussi varié, selon les genres : programmes partisans, motions de congrés, discours électoraux, négociations internationales ou bien selon les acteurs de l ’aréne politique comme p. ex. les métaphores utilisées pár le général de Gaulle ou le vocabulaire de F. Mitterrand (tous deux sont les ouvrages de Labbé 1995 et 1990) ou autres sujets : p. ex. la modalité « falloir » (Labbé 1990), l’emploi des pronoms personnels « je » et « nous » (Cotteret, Moreau 1969), l’usage de voix passive (Gerstlé 1979), le clivage bien/m al (Bon 1991),

3 D ’aprés Jacques Gerstlé, La communication politique. Puf, Paris, 1993

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l’emploi des verbes et énoncés performatifs dans le discours politique, la répétition comme moyen stylistique, les questions poétiques, etc.

Pár la suite, je voudrais aborder deux sujets pragmatiques, notaminent (1) l’emploi des formes de la premiere personne du pluriel (n o u s , n otre, n os et fo r m e s v e r b a le s) et (2) les verbes p e r fo r m a tifs dans le discours politique.

3.1. L ’ e m p lo i des fo r m e s de la p re m ie r e p e r s o n n e d u p lu rie l

( n o u s , n o t r e, n os et des f o r m e s v e r b a le s) dans le d is co u r s p o lit iq u e Commen^ons pár les énoncés tirés des discours de différents hormnes politiques frangais.

F ra n cois M itte r r a n d « Le nationalisme, c’est la guerre ! » Allocution prononcée devant le Parlement européen á Strasbourg, le 17 janvier 1997.

(Source : F. Mitterrand, L e s fo r c e s de l ’esp rit. M e s s a g e s p o u r d em a in .

Fayard, Paris, 1998)

(1) N o s prioritás visent á favoriser la croissance et á développer l’emploi, á affirmer dans sa diversité l’identité culturelle de l ’Europe, á assurer la sécurité des Européens. . . (p. 57)

(2) N e s o u s -e s tim o n s pás Pimportance de l’instrument dönt nous nous s o m m e s d otés, . . . (p. 57)

(3) H n ou s reste á éliminer ou á réduire les autres obstacles, . . . (p. 60) (4) N os co n c ito y e n s attendent beaucoup de n o u s, . . . (p. 69)

(5) E n se ig n o n s également l ’Europe : a p p r e n o n s -la á nos en fan ts.

(p. 75)

M ic h e l R o c a r d « Un pays comme le nőtre » Textes politiques 1986—1989. Seuil, Paris, 1989.

(6) « Le président de la République [= F. Mitterrand] fixe la direction.

Je m ’attache á la suivre.

N ou s savons vers quoi n ou s a llon s — la justice dans la prospérité.

(7) N o u s savons comment nous v o u lo n s y aller — pár la volonté, la conviction et la ténacité et toujours dans le respect de qui pense autrement.

(8) N o u s savons que cette voie est longue, mais qu’il n’en est point d’autre qui sóit sűre. O n en trouvera ici quelques jalons. » (p. 19—20)

G e o rg e s M a rch a is, L ’e sp o ir au p r é s e n t, Editions sociales notre temps/tribune, Paris, 1980 :

(9) « Ces progrés des Sciences et des techniques, n ou s v o u lo n s les remettre en oeuvre. P o u r n o u s , pás pour les exploiteurs. » (p. 13)

(10) « N o u s avons une ambition : que les travailleuses et les travailleurs, les jeunes, que le peuple de Francé prennent leur piacé dans ce mouvement. » (p. 52)

(7)

(11) « Cette lutte, nous v o u lo n s la pousser jusqu’au bout, jusqu’á notre ideál, le socialisme. » (p. 1 1 0)

Ces citations ci-dessus démontrent bien que « les mots peuvent changer de sens selon les positions termes pár ceux qui les emploient » (Pécheux 1990).

Cette constatation est particuliérement valable pour les formes déictiques de temps, de lieu, et, dans le cas donné des pronoms désignant les groupes de personnes :

Les formes de la premiere personne du pluriel ont des significations tout á fait différentes.

Les dites formes ne signifient pás un pluriel de majesté, mais elles représentent la légitimation des röles et/ou des fonctions :

— chez F. Mitterrand (1)—(5) le fait qu’il est le Président de la République frangaise, pays membre de l ’Union européenne. Pár ces « nous », F. Mitterrand peut englober d’une part tous ses présidents-collégues et, d’autre part : les citoyens (des pays) de l ’Union européenne ;

— chez M. Rocard (6)—(8) c ’est íme sorté de Corporation, de téllé maniére (pár « nous » ) qu’il peut englober ses partisans ainsi que les sympathisants du PSF.

— chez G. Marchais (9)—(11) le « nous » signifie : n ou s, les communistes et e u x — la droite ; ou bien (1 0) n ou s = les travailleuses + les travailleurs + les jeunes + le peuple frangais / ? / . C ’est un exemple de raisonnement captieux et bien confus.

3.2. Les v e rb e s p e rfo rm a tifs dans le d isco u rs p o litiq u e o u b ie n : fa u t-il e rő ire q u ’ en p o litiq u e d ire c ’ est fairé ?

La théorie des actes de langage a été élaborée pár Austin (1962) et développée pár Searle (1969), Récanati (1981) et Vanderveken (1988). Dans la communication politique ou sur les scénes de la vie politique, on trouve des exemples de situations pour lesquelles « dire c ’est fairé ».

Voyons quelque cas pour le Président :

D écla ra tifs :

(1) « Je d é cla re la séan ce o u v e r t e » — dit le Président d’une Assemblée.

(2) « Je ce d e la p a ro le á M . X » — prononce le Président d’une réunion ou d ’une conférence.

E x p o s iti f :

(3) « Je p re n d s un e x e m p le » .

(8)

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Promissifs :

(4) « Je m ’engage á. . . »

(5) « Je vous donne l’ assurance » (Mitterrand 1980, 63) (6) « Je représente la Francé » (Mitterrand 1980, 71)

(7) « M oi, X Y , jure solennellement de servir. . ., de protéger et de défendre la Constitútion de . . . » (exemple sur la préstation de serment accomplie pár un Président).

Expressifs :

(8) « Je vous offre mes meilleurs voeux et je vous souhaite une bonne année. »

(9) « Je vous remercie d’avoir donné l’exemple de la rigueur au cours de la derniére campagne. » (Mitterrand 1998, 144)

(10) « J’espére que cette déclaration de principe se traduira dans les faits. » (Mitterrand 1998, 62)

Dans les exemples ci-dessus, il s’agit bien, selon l’expression d ’Austin, de « fairé des choses avec les mots ». L ’efficacité de tels énoncés ne se comprend que pár référence á un contexte trés particulier (selon Austin : de circonstance appropriés). Les composants fondamentaux de ce contexte sont tout d’abord le statut juridique particulier du locuteur qui l’autorise á fairé ce qu’il fait, puis un contexte rituálisé : conditions de lieu et de date. Si certaines conditions ne sont pás remplies, l ’énoncé ne ser a, selon l’expression d ’Austin qu’ « imitation bouffonne ».

Pour terminer je cite P. Bourdieu :

« D’un point de vue linguistique n’importe qui peut dire n ’importe quoi (. . .) ; mais d ’un point de vue sociologique, célúi qu’ adopte Austin lorsqu’il s’interroge sur les conditions de félicité (des énoncés performatifs), il est clair que n ’importe qui ne peut affirmer n’importe quoi. » (Le Bárt 1998, 101—2)

Mais concernants les promesses de certains politiciens — surtout pendant la campagne électorale (!) — je n ’en mettrais pás ma main au feu.

Donc, pour certains actes promissifs de certains politiciens, la lói de sincérité austinienne et searlienne n ’est pás valable, c’est-a-dire : pour eux dire qu’on promet suffit toujours á promettre.

Bibliographie

AUSTI N, J. L. : How to Do Things with Words ? Oxford, 1962.

Austin, J. L. : Quand dire c ’est fairé. Seuil, Paris, 1970.

Bo n, F. : Les discours de la politique. Economica, 1991.

Debbasch, Ch.—Da u d e t, Y.: Lexique de politique. Paris, 1992.

Dubois, J. et alii : Dictionnaire de linguistique. Larousse, Paris, 2001.

(9)

GersYlÉ, J. : Le langage des socialistes. Stanké, 1979.

GerstlÉ, J. : La communication politique. Puf, Paris, 1993.

La bbÉ, D. : Le vocabulaire de F. Mitterrand. Presses FNSP, 1990.

Le Bá r t, Ch. : Le discours politique. Puf, Paris, 1998.

Mihalovics Árpád : A politikai szaknyelv néhány sajátossága. In : SENy 2, Nyíregyháza, 2000, 29—61.

Mihalovics Árpád : Quelques traits caractéristiques des documents diplomatiques. In : Revue d ’Etudes Frangaises N - 6, 2001, 109—18.

RÉCa nati, F. : Les énoncés performatifs. Minuit, Paris, 1981.

SEARLE, J. R. : Speech Acts. London, Cambridge Univ. Press. 1969.

Searle, J. R. : Les actes de langage. Hermann, Paris, 1972.

Van D ÉRV EKEN, D. : Les actes de discours. Liége—Bruxelles, 1988.

Sources

Marchai s, G. : L ’espoir au présent. Ed. sociales notre tem ps/tribüné, Paris, 1980.

Mi t t errand, F. : Les forces de Uesprit. Message pour demain. Fayard,

Paris, 1998. •

Ro c a r d, M. : Un pays comme le nőire. Textes politiques 1986—1989.

Seuil, Paris, 1989.

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